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FICOMPTA

17 février 2020

Comment déclarer les biens immobiliers ou les revenus de remplacement des enfants ? Découvrez-en plus grâce à votre comptable à Mons

Héritage ou donation

Si un enfant hérite d’un terrain ou d’un immeuble, ou bien s’il en reçoit un par donation, tous ces biens immobiliers se retrouvent dans la déclaration fiscale de ses parents. Et ce tant que le jeune n’atteint pas l’âge de 18 ans au cours de l’année de l’héritage ou de la donation. Il en sera de même s’il reçoit des revenus de placements.

Et si l’enfant est majeur ?

Par contre, dès que l’enfant atteint l’âge de 18 ans au cours de l’année de revenus, il doit introduire sa propre déclaration fiscale et donc déclarer lui-même ces biens immeubles reçus ou ces revenus placement.

N’hésitez pas à contacter votre comptable-fiscaliste à Mons qui vous informera plus amplement à ce sujet.

Et les rentes alimentaires ?

Les rentes alimentaires perçues pour vos enfants doivent-elles être déclarées ? Lisez l’article suivant pour en savoir plus à ce sujet.

Dois-je déclarer les rentes alimentaires perçues pour moi-même ? Votre comptable-fiscaliste à Mons vous répond dans cet article.

Contactez votre comptable-fiscaliste, Guillaume Cristallo à Havré, près de Mons. Il vous informera du montant de quotité exemptée auquel vous avez droit en fonction du nombre d’enfants fiscalement à votre charge.

4 février 2020

Dois-je déclarer les rentes alimentaires perçues pour moi-même ? Votre comptable à Mons vous l’explique

Après un divorce, il est très fréquent que l’on reçoive une rente alimentaire de son ex-conjoint. De même, des parents qui résident en maison de repos et qui ne peuvent faire face au paiement des factures reçoivent parfois le soutien de leurs enfants.

Si vous percevez cette rente alimentaire pour vous-même, vous devez toujours la déclarer. En effet, les rentes alimentaires perçues par les personnes majeures doivent toujours être déclarées. Quel que soit leur montant.

Et peu importe que ces rentes soient imposées par un tribunal ou pas. Du moment qu’il y ait une obligation d’entretien vis-à-vis du bénéficiaire de la rente. Les coordonnées du débiteur de la rente doivent être indiquées. Les codes à remplir dans la déclaration fiscale varient selon le type de rente alimentaire.

Rentes alimentaires régulières

Les rentes alimentaires qui sont reçues sur une base manière régulière (tous les mois par exemple) doivent être reprises aux codes 1192/2192 de votre déclaration fiscale. A la condition que le paiement de la rente ne se soit pas fait attendre plus de trois mois. Dans ce cas, la rente alimentaire ne doit plus être déclarée. Et elle ne sera pas déductible non plus pour son débiteur.

Capital unique

Si la rente alimentaire est versée en une seule fois, sous forme de capital, elle n’est pas imposable en une seule fois. Mais par fraction tous les ans. C’est ce qu’on appelle une rente fictive. On obtient le montant à imposer en multipliant le capital reçu par un pourcentage. Ce pourcentage dépend de votre âge au moment où la rente a été payée et varie de 1 à 5 %. Vous déclarez cette rente fictive à partir de l’année où le capital a été versé jusqu’à la fin de vos jours aux codes 1194/2194 de la déclaration. La date à laquelle le capital a été perçu s’inscrit aux codes 1195/2195. Et le montant du capital reçu aux codes 1196/2196 de votre déclaration fiscale.

La rente alimentaire perçue sera-t-elle imposée ?

Le fisc ne prend en considération que 80 % du montant de la rente alimentaire perçue. Ces 80 % sont ensuite imposés au taux d’imposition progressif.

Par ailleurs, les rentes alimentaires perçues pour vos enfants doivent-elles être déclarées ? Votre comptable-fiscaliste à Havré vous répond dans cet article.

Découvrez comment remplir correctement votre déclaration fiscale en fonction de votre situation familiale. Et du nombre d’enfants ou d’autres personnes à charge fiscalement.

Contactez votre comptable-fiscaliste Guillaume Cristallo à Havré, près de Mons. Il vous informera du montant de quotité exemptée auquel vous avez droit. En fonction du nombre d’enfants fiscalement à votre charge.